de Marie-Pierre Manet |
2 ème circonscription.
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Arrondissement Argelès-Gazost.
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Canton d'Argelès-Gazost.
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Gendarmerie d'Argelès-Gazost.
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Communauté des Communes
d'Argelès-Gazost. |
65400
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65 1 01 004
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D'après Beauxis, instituteur, le nom de la localité dériverait
du mot grec Aïgos (génitif de Aïs)
qui signifie chèvre. [1]
Angos est, en effet renommée pour ses chèvres. |
En 1789 : 239 habitants.
En 1793 : 218 habitants. En 1800 : 154 habitants En 1806 : 212 habitants. En 1821 : 232 habitants. En 1831 : 239 habitants. En 1836 : 231 habitants. En 1841 : 245 habitants. En 1846 : 238 habitants. En 1851 : 360 habitants. En 1856 : 343 habitants. En 1861 : 359 habitants. En 1866 : 360 habitants. En 1872 : 358 habitants. En 1876 : 351 habitants. En 1881 : 352 habitants. En 1886 : 322 habitants. En 1891 : 335 habitants. En 1896 : 334 habitants. En 1901 : 302 habitants. En 1906 : 301 habitants. En 1911 : 302 habitants. En 1921 : 223 habitants. En 1926 : 208 habitants. En 1931 : 207 habitants. En 1936 : 208 habitants. En 1946 : 218 habitants. En 1954 : 228 habitants. En 1962 : 256 habitants. En 1968 : 265 habitants. En 1975 : 285 habitants. En 1982 : 272 habitants. En 1990 : 270 habitants. En 1999 : 290 habitants. En 2009 : 362 habitants. En 2011 : 379 habitants. En 2012 : 392 habitants. En 2014 : 437 habitants. En 2020 : 416 habitants. |
Agolosien.
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611 hectares.
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415 mètres.
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- Agos :
Saint Hippolyte le 13 Août. - Vidalos : Saint Michel le 29 Septembre. |
En 1846, réunion des villages d'Agos et Vidalos en un seul.
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En 1893, des reptiles monstrueux furent aperçus en différents
endroits d'Agos-Vidalos.
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- Nom gascon auquel l'usage a retranché "h" initial. - HAGOS signifie "faines" (fruits du hêtre). - A Agos, on adorait le hêtre à l'époque gallo-romaine. - Nom aquitain dont le suffixe est (-os). |
Ils existent plusieurs grottes à laquelle se rattachent des légendes.
1. La légende raconte que la grotte de Bours était jadis habitée par trois fées merveilleusement
belles, terribles enchanteresses dont la retraite était inacessible. Le jeune et beau sire de Deneins
était à cette époque seigneur de Vidalos, habitant le manoir, dont il n'y a pas cinquante ans, on voyait les
dernières ruines sur un monticule au centre du village, et de son domaine
dépendait l'église qui est encore debout aujourd'hui. Les fées l'ayant un jour aperçu, s'éprirent de sa bonne mine.
Aidées par les hadous, bergers qui gardaient dans les forêts les troupeaux de hades (fées), elles firent creuser
un souterrain conduisant de leur grotte au château du guerrier, leur bien-aimé.
Dès ce moment, l'heureux châtelain devient le bon génie de la contrée, et son crédit auprès des puissantes
fées est mis plus d'une fois à contribution.
La grandeur des moutons d'une famille Fourcade, de Vidalos, ayant une fois conduit son troupeau près de la grotte, les
fées furent effrayées par le chien que leur aspect avait rendu furieux ;
et elles appelèrent le berger à leur secours. Celui-ci fit la sourde oreille et se mit à rire sous cape de leurs alarmes. Elles
le punirent en l'aveuglant à l'instant, et le chien, dès ce jour, aboya aux oreilles de son maître sans trève
ni merci. Le sire Deneins, intercédé, obtint la cessation de l'infernal supplice.
Dans une autre circonstance, les fées avaient enlevé un petit enfant de son berceau, que sa mère, de la famille
Bégarie, de Vidalos, venait de déposer, pendant qu'elle travaillait aux champs, à quelque
distance, sous un chêne ombrageant la fontaine de Soupeyre près d'Ost. Il fallut recourir
au seigneur, et grâce à l'intervention du favori de ces belles, l'enfant fut replacé sous le chêne, tenant
dans ses mains un gros peloton de fil d'or. Il fut toutefois imposé pour condition que la mère, lorsqu'elle viendrait
chercher son fils et l'emporterait, ne tournerait pas la tête en arrière quoi qu'elle entendît. A peine a-t-elle fait
quelques pas qu'elle entend derrière elle une musique ravissante qui la pousse à regarder sur ses pas. Mais voilà
qu'aussitôt le gros peloton de fil d'or s'échappe des petites mains de l'enfant et s'évanouit - La légende
ajoute que, pour dédommager la mère, les fées
lui firent plus tard cadeau d'une grande propriété que la famille Bégarie a possédée jusqu'à ces derniers temps.
2. D'après la tradition du pays, une autre grotte, dite de Miquelle, tire sa dénomination de ce qu'elle fut
donnée par les fées à une vieille chevrière
nommée Miquelle, en récompense de services qu'elle leur avait rendus en temps de disette.
[1]
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A Vidalos on trouve un castéra, hauteur sur laquelle on voit
encore une tour carrée, reste
d'un manoir féodal construit par Centulle III, comte de Bigorre.
Cette tour n'a d'ouverture qu'une fenêtre placée à une certaine hauteur.
S'il faut s'en rapporter au croyance des habitants, un souterrain conduit cette tour au Gave. On raconte, également,
qu'une dame voilée, vétue de noir, y fut autrefois emmenée par sept cavaliers masqués
qui l'y enfermèrent et l'y laissèrent gémir pendant plusieurs années.[1]
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- Carrières de marbres très recherchés.
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Deux fontaines :
1. Fontaine Saint Cesté (dont l'eau guérit certaines fièvres). 2. Fontaine Houn de Gapdivere : coule de la voûte creusée dans le roc, sur un bassin, espèce de petit lac naturel ; |
Au sommet de la montagne d'Agos, un trou connu sous le nom de Poutzet, sorte de puits qu'on prétend être très profond, et
dans lequel, si l'on jette une pierre, on l'entend pendant des minutes entières produire des sons argentins comme
si elle tombait, d'étage en étage sur du crital.[1]
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- La maison Montyoye fut habitée par une famille fort ancienne.[1]
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Dans un défilé appelé Maoü-Pas, près du Gave, entre Geu et Agos, il s'est livré une
bataille sanglante contre les Maures.[1]
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Vallée de l'Estrem de Salles.
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Sénéchaussée de Bigorre.
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Pays du Lavedan.
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Hautes-Pyrénées.
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Midi-Pyrénées..
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Occitanie..
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[Commune d'Agos-Vidalos.]
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