Informations commune d'Estarvielle
Hautes-Pyrénées
département 65.



00036426
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détails Observations
Circonscription 1 ère circonscription.
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre.
Canton Bordères-Louron.
Gendarmerie compétente Arreau.
Étymologie (@ Fiches de l'Abbé J. J. Pepouey)
Estar = vielh ou viella, s'écrivit : Astar.

Astar dou vieilh = hampe du vieux, de l'ancien, de l'antique, du passé.

Astar, Aster : hampe, pieu, broche, manche d'outils.

Aste : envergure, corps de l'homme.
Code Postal 65510
Nom ancien En 1793 : Estervielle.
En 1801 : Estarvielle.
Recensement de la population En 1793 : 78 habitants.

En 1800 : 59 habitants

En 1806 : 87 habitants.

En 1821 : 101 habitants.

En 1831 : 92 habitants.

En 1836 : 109 habitants.

En 1841 : 105 habitants.

En 1846 : 100 habitants.

En 1851 : 92 habitants.

En 1856 : 103 habitants.

En 1861 : 93 habitants.

En 1866 : 93 habitants.

En 1872 : 93 habitants.

En 1876 : 91 habitants.

En 1881 : 91 habitants.

En 1886 : 88 habitants.

En 1891 : 88 habitants.

En 1896 : 82 habitants.

En 1901 : 70 habitants.

En 1906 : 61 habitants.

En 1911 : 50 habitants.

En 1921 : 52 habitants.

En 1926 : 52 habitants.

En 1931 : 49 habitants.

En 1936 : 49 habitants.

En 1946 : 54 habitants.

En 1954 : 51 habitants.

En 1962 : 48 habitants.

En 1968 : 41 habitants.

En 1975 : 40 habitants.

En 1982 : 39 habitants.

En 1990 : 35 habitants.

En 1999 : 29 habitants.

En 2007 : 29 habitants.

En 2009 : 30 habitants.

En 2011 : 33 habitants.
Nom des habitants Estarviellois.
Sobriquet "Ets bouhèmis" = Les bohémiens.
Ceci faisait allusion aux possibles ascendances espagnoles des habitants qui avaient le teint mât et avaient des pratiques "nomades et batailleuses".
Superficie 82 hectares.
Altitude 994 mètres.
Fête Saint-Pierre.
Le 29 juin.
Chapelle Chapelle Saint-Antoine.
2 ème moitié du XIX è:me siècle.
Château (Lieu-dit Sarreuilles).
Tour mentionnée en 1276 dans un acte notarié comme "Castrum Estarvielle".
Noblesse Il est probable qu'elle fut la résidence de la famille Arroux d'Estarvielle jusque vers le XVI ème siècle.
(Propriété privée).
Église Église paroissiale Saint-Pierre.

- Église romane.

- Fresques du XIV ème siècle.

L'église fait l'objet d'importants travaux au XVI ème siècle avec la construction de clocher.

En 1706, la sacristie est ajoutée.

Deux confréries du Saint-Rosaire et de Saint-Joseph furent érigées dans l'église en 1889.
Consuls Résidence des Consuls chargés de faire respecté la loi établie par la Charte de la vallée du Louron.
Un endroit

On y trouve, le Puyo des fourches, ainsi nommé parce qu'on y pendit, jadis, un homme au bout de deux poteaux, pour avoir maltraité une femme auprès du pont de Peyre-Sourde.[1]
Un évènement

En 1913, une jeune journaliste conférencière s'installe à Estarvielle en raison de la santé de sa maman. Elle publie dans son journal ses idées sur les droits de la femme. Les hommes ne l'entendent pas ainsi et organisent des charivaris en son encontre faisant en sorte de lui empoisonner la vie. Elle est obligée de porter plainte auprès de la gendarmerie et du tribunal.

Depuis, heureusement que les idées ont évoluées.
Sénéchaussée Sénéchaussée de Toulouse.
Localisation Rivière-Verdun.
Vallée Vallée du Louron.
Département Hautes-Pyrénées.
Région Midi-Pyrénées.




Notes

[1] Sources : Gallica.bnf.fr
Bibliothèque Nationale de France
Bulletin de la Société académique
des Hautes-Pyrénées
Société académique
des Hautes-Pyrénées



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département 65.
© Marie-Pierre MANET







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